Les nymphéas bleus de Monet
Chopin La ballade N° 1en sol mineur
Le salon a des allures de gazette. Chaque jour qui passe apporte une idée nouvelle.
Nous sommes ravis de recevoir tous les abonnés qui sont venus s'inscrire à ce blog, l'enrichissant à leur manière de leurs commentaires et de leurs avis éclairés.
Le salon se fera un plaisir d'informer les nouveaux abonnés des publications faites tous les mois dans les différentes catégories pour faciliter la lecture et les différents sujets abordés. Comme dit l'un de nos amis, c'est une affaire de métamorphose et d'adaptation à toutes les situations, on écrit, on entend l'air de l'écrit, on voit venir la transformation et on l'adopte. " Rien ne se perd, tout se transforme", dit notre ami en reprenant les termes de Lavoisier.
Nous vous invitons à suivre le fil des articles publiés depuis le 10 novembre, date à laquelle le salon N° 10 a présenté ses précédents articles.
A tous les abonnés, les nouveaux, les anciens, les discrets, les elfiques, les facétieux, nous sommes heureux de vous faire découvrir le fil de nos actualités.
Notre amie Babeth est heureuse de présenter sa page au sein de ce blog : " La page de Babeth " où régulièrement, elle présente une de ses peintures que je prends plaisir à faire vivre par quelques mots. C'est un duo plein de poésie, de sympathie et de vigueur. Il ressemble à ce voilier fendant les vagues, faisant fi des frimas et filant droit devant lui pour atteindre un rêve, fut il de glace.
Voilier fendant les vagues
Un rêve de glace
Le ciel prend ses grands airs outrés
Qui peut vouloir fendre la glace ?
Le défi fait sauter les verrous des vagues livides
Elles se cabrent frappées par la coque qui file
Le Saint Graal droit devant se profile
C’est mon rêve c’est mon évasion
Toutes voiles propulsées autour d’un désir entier
Droit devant je promets d’arriver
La mer en est criblée de mes éclats gelés
Pour le seul cri qui brisera le silence
Je veux trouver le calice d’argent
Où l’espoir ne se dissout jamais
Peinture de Babeth
Texte de Ginette Flora
Sur la page de Babeth, vous pourrez voir sept autres tableaux qui sont venues enrichir sa page.
Les articles de l'automne abondent. C'est un thème qui ne cesse de l'inspirer.
Catégorie ; La page de Babeth
https://ginettemarie2016.wixsite.com/lesmallesdamouma/blog/categories/la-page-de-babeth
Randolph continue de nous présenter les musiciens.
Il nous parle aujourd'hui de jazz et du couple mythique formé par Ella Fitzgerald et Louis Armstrong.
Ella et Louis
(article de Randolph)
Comment présenter Louis Armstrong, «Satchmo» pour les intimes (il eut droit à bien d’autres sobriquets, dont ses amis l’affublèrent, au regard de ses grosses lèvres) ?
Comment gravir ce monument de la musique afro-américaine ?
Car Louis Armstrong, né en 1901, était bien plus que l’amuseur public qu’il semblait être. Dès les années vingt, en étant engagé comme trompettiste dans l’orchestre de King Oliver, il commence à faire vibrer son cuivre. Très vite, sa voix inimitable - due à une lésion des cordes vocales - et sa créativité au cornet, son art de la composition et de la conduite d’orchestre le rendent célèbre. Il est propulsé au sommet, porté par ses improvisations inoubliables (West EndBlues, le célébrissime Hello Dolly), il devient une star. Il joue avec les plus grands de l’époque , Fats Waller, Duke Ellington, Jack Teagarden, Bing Crosby, les chanteuses Bessie Smith, Ma Rainey, une fois je crois avec Billie Hollyday.
Et surtout, un peu plus tard, dans les années cinquante, il enregistre avec son amie, sa complice, la fameuse Ella Fitzgerald. Et voici la réponse à mon questionnement initial : Présenter Monsieur « l’Ambassadeur du jazz » en duo avec la « First Lady of Song ». Ils gravèrent trois disques, « Ella & Louis », « Ella & Louis Again », et « Porgy & Bess », qui comprend les chansons tirées de l’opéra éponyme de Georges Gershwin.
Malgré ses tournées mondiales, toutes couronnées de succès, malgré la vente vertigineuse de ses disques (il détrôna les Beatles au hit-parade 1964), Louis Armstrong n’oublia jamais qu’il était né dans une famille très pauvre de la Nouvelle-Orléans. Il n’oublia pas non plus l’aide, et selon lui le déclic dû à la famille Karnofsky, juive d’origine russe qui, alors qu’il traînait dans un foyer, lui offrit son premier cornet à pistons.
Louis Armstrong représente un phare généreux et lumineux dans l’histoire du jazz.
LIENS :
1) West End Blues (1928) Un morceau d’anthologie. Écouter l’introduction à la trompette solo, une audace inouïe à l’époque.
2) Hello Dolly (1968) Une version de bonne qualité sonore, par un Satchmo en pleine forme. Une ambiance du tonnerre !
3) LOUIS & ELLA à leur meilleur, interprètent Cheek to cheek
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4) ELLA FITZGERALD, sublime, en solo, interprèteCry Me A River
https://www.youtube.com/watch?v=2Gn9A-kdsRo
La page de Randolph présente également un article intitulé : " Les vêpres de Monteverdi"
Catégorie la page de Randolph :
https://ginettemarie2016.wixsite.com/lesmallesdamouma/blog/categories/la-page-de-randolph
La musique de Fred nous accompagne toujours tout au long de notre voyage dans le bleu des rêves .
Voici le mouvement N°5 intitulé :
" During floating hours " de la playlist "soundscapes from heart and mind"
Frédéric le présente lui-même en nous parlant des symboles sous-jacents de sa composition.
" Concernant "The Floating Hours" (Les Heures Flottantes) et puisque l'on parle beaucoup de métamorphose au cours de l'article, il me semble le morceau de la Playlist "Soundscapes For Heart And Mind " le plus indiqué. Effectivement, ce dernier a subi maintes transformations avant de trouver son identité. Cela à tel point que sa présence sur la Playlist a été remise en cause plus d'une fois.
Puis finalement, c'est Big Ben, l'horloge la plus célèbre de Londres, qui est venue me sonner les cloches et définir par son fameux carillon se qu'allait devenir The Floating Hours". Ainsi, le mécanisme de l'horloge d'agir sur les mécanismes de la mémoire, nous renvoyant par association d'idées au grand smog de Londres (en anglais, The Great Smog ou Big Smoke : « la grande fumée »). Le morceau "Les Heures Flottantes " symbolise ces moments ou un sentiment flou et empli d'incertitude vient nous habiter. Un peu comme si nous traversions la brume épaisse et grisâtre de la capitale anglaise, limitant notre visibilité et la perception de toute chose..."
Fred et Randolph ont chacun également une page au sein de ce blog.
Leurs duos sont un enchantement.
Celui que l'on n'oubliera jamais, c'est le duo : " Le lac bleu ", un véritable et superbe opéra, le lac des cygnes revisité avec la parade des cygnes, la présence d'autres protagonistes, un dialogue muet qui devient un chant lyrique, rien que par la beauté des couleurs et de la présentation d'une nature magnifiée par la musique de Fred et les captures photographiques de Randolph obtenues après des heures d'attente dans les fourrés.
Les duos de Fred et de Randolph :
" Le lac bleu " présenté sur les pages respectives de Fred et Randolph chez Short Edition. Le spectacle se divise en neuf actes, salué par les auteurs du site littéraire et participatif de Short Edition.
Acte 1 et acte 9
La catégorie La page de Frédéric:
https://ginettemarie2016.wixsite.com/lesmallesdamouma/blog/categories/la-page-de-fred%C3%A9ric
Nous n'oublions pas que notre quatuor artistique a publié ce mois-ci deux compositions :
- Le cirque de Gioberney et
- Le pilon du Roy
Lien de la catégorie : Le Ginazabethov et Fredolphsky :
https://ginettemarie2016.wixsite.com/lesmallesdamouma/blog/categories/le-ginazabethov-fredolphski
Millétoiles, cet espace indique tous les articles que je poste au fur et à mesure de mes lectures, de mes découvertes et de mes échanges avec ma communauté d'amis et d'auteurs.
J'ai posté des articles dans certaines catégories du blog, comme celle de la musique, de l'opéra lyrique, des écrivains, des peintres.
De nouvelles catégories s'ouvrent ainsi au fil du temps à mesure que j'avance dans mon blog. La catégorie des loisirs créatifs est la dernière née avec la catégorie du calendrier de l'Avent.
Je me souviens de mon blog chétif, ouvert sur un coup de coeur, longtemps resté dans l'ombre puis un écureuil est passé puis un hibou ensuite un blaireau ... Ils sont restés et n'ont pas eu peur du loup qui a montré son museau.
Aujourd'hui, ce sont des elfes et des lutins qui me visitent.
Et c'est mon merveilleux cadeau de ces fêtes 2022 car c'est le résultat d'une lente et régulière élaboration.
En musique,
Henry Purcell " My fairest isle"
Gabriel Fauré " Après un rêve "
" Pavane"
François Couperin: " Les leçons de ténèbres"
Beethoven : "Orage"
Giovanni Bononcini " O dio , se fosse vero"
Un article sur " La passacaille"
J'ai eu l'idée d'ouvrir une catégorie pour chaque musicien au fur et à mesure de l'écoute des morceaux que les abonnés proposent ou lorsque je vais à la découverte de musiciens à travers mes lectures.
Deux catégories sont déjà en train de s'enrichir :
- Haendel
- et Monteverdi
En ce qui concerne l'opéra et le drame lyrique, quelques évocations :
Die tote stadt de Erich Wolfgang Korngold
Lohengrin de Richard Wagner
La bohème de Puccini
Griselda de Bononcini
Les articles qui font la une du blog :
- Le décès de l'écrivain Christian Bobin
Que le destin est étrange ! J'ai fait un article sur l'écrivain Christian Bobin en Mars 2022 et en Novembre 2022, il décède. Comme si cette rencontre avec cette plume poétique, je devais la faire. Elle en prend davantage de sens et revêt un prix particulier à mes yeux.
- Le peintre Robert Barbet
J'ai le plaisir de vous présenter le peintre Robert Barbet.
Je ne me rends pas encore compte que ce peintre, c'est l'homme dont les tableaux ornent les murs des salles de la mairie et de ses services culturels. Pour moi, c'est l'homme du village où j'habite, un habitant que je vois aller chercher son pain, que je salue dans les allées du marché et qui me demande de mes nouvelles. Nous nous arrêtons et nous conversons, quelques mots très souvent comme les quelques feuilles des arbres qui nous laissent leur ombrage. L'homme est présent dans le paysage, cette quiétude dans son regard, je la retrouve sur ses tableaux.
Ce sont des moments qui s'en allant ainsi sur les routes du temps ont abouti un jour à un vernissage où la sensibilité du peintre m'a permis de croire encore à la beauté des êtres et des choses.
- Le peintre John Fernandès ( présenté dans la catégorie des peintres)
- Le peintre Chitra Vaidya
- "L'apprenti sourcier" est un article que j'ai voulu écrire pour parler des différentes résonances que rend le texte de Randolph, publié sur sa page chez Short Edition dans le cadre du prix spécial de la sorcellerie.
- Egalement un article sur le poète John O' Donohue
https://ginettemarie2016.wixsite.com/lesmallesdamouma/post/john-o-donohue
Pour terminer cette visite amicale, je suis heureuse de vous présenter ma poésie finaliste au concours de ce même prix de la sorcellerie sur ma page chez Short Edition, également présente sur mon blog : " Le temps d'une fugue" .
https://ginettemarie2016.wixsite.com/lesmallesdamouma/post/le-temps-d-une-fugue
Ce numéro présenté sous forme de gazette remercie tout spécialement les nouveaux abonnés, nombreux ce mois-ci et qui par leur présence constante dans les commentaires et leurs suggestions font vivre ce blog, ce dont nous nous réjouissons.
Joyeuses fêtes à tous !
"Mise en scène de ces talents" 😚 !
Il y a tant de belles découvertes dans les malles d'Anouna. Bravo aux artistes talentueux et merci à Ginette pour la mise en scène de ces ! Je vous souhaite à toutes et tous une excellente année 2023 🧚♂️🧚♀️🧚
Uu grand merci à vous tous, et à vous, Ginette, qui orchestrez si bien.